lundi 28 décembre 2009

joyeux 2010 !

Bon, j'avoue, je fais le sous-marin, en compagnie de miss Annie et d'autres félins (même s'ils sont réputés ne pas adorer l'élément liquide sauf sous forme de lait).
Je reviendrai quand je serai au chômage !
En attendant, bon noël et joyeusetés à tous !

mardi 6 octobre 2009

vendredi 2 octobre 2009

tintin au congo rebondit, houba houba.

Puisqu'il paraît que "l'affaire" Tintin au Congo rebondirait en France, je remets ce petit dessin que j'avais fait lors du premier épisode de cette histoire à sensations.
Remarquons d'ailleurs que si, comme il est dit dans l'article, l'éditeur américain a aujourd'hui renoncé à publier une traduction de cet ouvrage d'Hergé pour cause de racisme insoutenable, à une certaine époque, c'était plutôt Tintin en Amérique qui posait problème aux Américains, en raison de la représentation de Visages Pâles avides de pétrole expropriant des Indiens par la ruse... O tempora, o mores, comme il est dit dans une autre bande dessinée.




Bon. Quand est-ce que Moulinsart se fend d'une intro pour dire que c'est un vieux bouquin et que, à l'évidence, Hergé n'avait jamais vu un Noir en vrai à l'époque ?

jeudi 3 septembre 2009

Parvati

mercredi 2 septembre 2009

un editeau pour le journal de Spirou


à paraître dans le n°3734

vendredi 14 août 2009

quelques crobards

Retour de Belgique, quelques croquis.

D'abord, et avant tout, un petit chat :



Ensuite, voici ce qu'a inspiré à Nick Tyler et à moi-même la visite du musée Hergé à Louvain-la-Neuve. Personnellement, j'y ai trouvé mon compte, et une grande émulation, donc ne comptez pas sur moi pour entrer dans une quelconque polémique sur la vie et l'oeuvre de Nick Rodwell, d'autres s'en chargent avec ardeur. La vie et l'oeuvre d'Hergé, par contre, sans problèmes !


(j'aime beaucoup le Milou de Nick)(Tyler) (sinon, pour l'autre Nick, ceci est un hommage ou une satire, ou ce qu'on voudra et on a le droit de le publier gratuitement pour l'édification du peuple et l'amour de l'art et dessiner Tintin avec sa médaille de la sainte Vierge n'est qu'un pur délire relaxant après quatre heures de musée et une migraine à force de tout regarder de trop près).

Dans mon exploration du glorieux passé belge, colonial ou non, une visite, enfin, au Musée royal de l'Afrique à Tervuren, un des nombreux fantômes mégalomaniaques que notre bon roi Léopold II sema dans Bruxelles et ailleurs, s'imposait :




A voir. Très inspirant, et aussi très polémique. Mais pas plus de polémiques aujourd'hui sur ce blog que de photos au Musée Hergé !

Et sinon de retour à la maison, encore des petits chats :

dimanche 26 juillet 2009

figures illustres de la pensée de Swingle-upon-Dwingle

Aujourd'hui : Sigismund Albert Froud.
Sigismund A. Froud fut le fondateur du mouvement psychanalytique du Swingle, vers 1902, sous le règne de Ferdinand "le Psycho-rigide" III.
Dès le début de son apostolat, Froud fut en butte à la toute-puissante Ligue pour la Moralité et l'Interdiction des Mini-jupes, présidée par le roi lui-même, qui voyait dans les théories du bon docteur un danger certain pour la jeunesse, déjà assez dissipée comme ça, du Swingle.
En effet, les théories de Froud, assez audacieuses pour l'époque, replaçaient la sexualité au cen
tre des débats, place que nous nous accordons aujourd'hui à trouver qu'elle n'aurait jamais dû quitter. Ci-dessus, Froud exerçant le difficile art de faire remonter à la surface les motifs inconscients des névroses obsessionnelles.
Il fut lui-même surpris de constater à quel point les dames, même issues de la meilleure société, pouvaient être intéressées par ce qu'il nommait "la symbolique latente phallique".
Cette constatation lui inspira la célèbre chanson "Naughty spots on human body" que son petit accent germanique rend charmante au possible (remix disponible par Giovanni DJ Falyk).

En 1907, le roi, excédé par "Ferdinand III ou les dangers de l'homosexualité refoulée", un malencontreux libelle signé Froud, ordonna qu'on se saisisse de l'insolent individu afin de le pendre par les pieds dans l'huile bouillante, "et on verrait qui est le frustré" (déclara-t-il).
Froud eut cependant le temps de s'exiler au Glongle voisin, où on avait aussi fort besoin de rigoler.

samedi 25 juillet 2009

une glorieuse scène de la vie historique du Swingle

La tentative avortée d'Anschluss de Rudolf Münster le Nain, Guide Suprême et Petit Père du Gwongle, sur la province ouest du Swingle, dirigée à l'époque par la princesse Hildega Ksiegarnia.

L'idéologie de Münster, exposée en long en large et en travers dans son indigeste ouvrage "Le Camphre et son usage dans la cuisine tyrolienne" (on disait "Mon Camphre" pour aller plus vite), impliquait notamment une "solution finale de la question féminine" de sinistre augure : les individus de sexe féminin étaient considérés comme inférieurs et voués à une mort certaine. La question de la reproduction de la glorieuse race mâle du Gwongle n'effleura jamais Münster, qui souffrait de dyslexie agravée et d'une tendance assez sauvage à la paranoïa.

"De quoi, de quoi ?" fut la réponse officielle de la princesse à la proposition d'annexion du Guide Suprême de mars 1783.

La rencontre au sommet qui s'ensuivit (voir ci-dessous) se termina par une vigoureuse fessée de l'impudent personnage. On retrouva le Guide Suprême le lendemain électrocuté dans son bain, entouré de sex-toys mal isolés. La thèse officielle veut que le sinistre individu ait tenté de se calmer et de soulager la douleur cuisante de son arrière-train en prenant un bain aux aromates qui aurait mal tourné.

mardi 21 juillet 2009

umoja

Les Coiffeurs pour Dames m'avaient demandé une illu, il y a quelque temps : comme je les aime bien et que le sujet était des femmes africaines en bagarre pour leur liberté, eh ben je leur avais fait ça :


Ah oui, comme on est le 21 juillet, sinon, vive le roi, la loi et la liberté (enfin, surtout le dernier).

dimanche 19 juillet 2009

quatre garçons dans le vent

Les Skiffle Beat Brothers from Proggle's-on-the-Unknown-Sea.
De gauche à droite, on reconnaît : Paul Ramone, bassiste, le Dr Winston Ono O'Boogie, guitariste rythmique, Jack Lumber Harrisong, le guitariste solo et Richie Snare, le batteur et percussionniste.

Le formidable engouement que le groupe suscita parmi la jeunesse échevelée du Swingle était dû non seulement à la grande beauté des jeunes garçons mais aussi à l'extraordinaire énergie swing de leur musique, qui prend racine bien sûr dans le style "rock'n'roll" inventé par la poétesse Gwendolina Von Glingle.

Chacun des membres du groupe apportait sa touche personnelle au groupe.


Paul Ramone se spécialisait dans la séduction instantanée de jeunes filles et les ballades romantico-punk ("Helter Skelter sur une échelle de pompiers", "Hier encore", etc).


Le Dr Winston Ono O'Boogie amena son g
oût pour l'Extrême-Orient, les chaussures étroites, le surréalisme et le narcissisme. On lui doit "La tarte de tante Mimi aux fraises du jardin" et "La Ballade du Dr Winston Ono O'Boogie et de Dona Waga".

Jack Lumber Harrisong, le taiseux du groupe, leur fit découvrir la posture sur la tête et une technique de dégrafage de soutien-gorge qui assure aujourd'hui encore son succès dans bien des foyers. D'où sa chanson "Les petits cochons", qui fait assez bien le tour du sujet.

Richie Snare, outre un grand sens du rythme, possédait une collection étonnante de boîtes de haricots à la tomate Heinz, ainsi qu'un goût prononcé pour les grosses voitures américaines roses.
On lui doit l'interprétation émouvante de la chanson "Nous sommes tous des Sousmarins Roses", composée par Paul Ramone.

dimanche 12 juillet 2009

scène de la vie quotidienne à Swingle-upon-Dwingle

Le grand navigateur Columbus Mac Swingle narre une nouvelle fois sa rencontre avec le Poulpe Octopus Winston, sa victoire sur icelui et les réflexions qu'il en tira sur la vanité humaine.
Columbus Mac Swingle, surnommé par les mauvaises langues "le vieux fou du hameau Pringleton", pour ce qu'il habite effectivement sur le flanc dudit hameau, est connu des historiens pour ses voyages d'exploration vers le Bout du Monde et les récits imagés qu'il en ramena, à défaut d'autre preuve.
Les mêmes mauvaises langues, fort en verve à son égard, le soupçonnent cependant de n'avoir jamais dépassé le port de Proggle's-on-the-Unknown-Sea, et plus particulièrement la taverne du Perroquet Imbibé, bien connue pour son inépuisable réserve de vieux rhum.

mercredi 8 juillet 2009

scène de la vie historique de Swingle-upon-Dwingle (4)

L'intermittente du spectacle et parapsychologue Fiona Nevermore instaure la première Journée Sans Lunettes et Sans Soutien-Gorge de l'histoire du Swingle (18 mai 1522). Car, disait-elle, "les lunettes pèsent sur le nez comme la misère sur le monde". Quant au soutien-gorge, l'étiquette lui chatouillait le dos.




C'est à cette occasion qu'elle fit la rencontre du panneau "Attention passage de bovidés" qui partagera désormais sa vie et dont elle dit dans ses "Lettres à ma fille Gérard" qu'il "irradiait de lui comme un parfum d'interdit qui me séduisit aussitôt. Ses yeux brillaient de désir et dès ce moment nous ne fûmes plus qu'un." Cette union contre-nature d'un objet inanimé et d'une agitatrice notoire en choqua plus d'un, mais ne déstabilisa pas le moins du monde Fiona Nevermore qui crut jusqu'à la fin de ses jours que "Attention passage de bovidés" était un beau brun moustachu.

mardi 7 juillet 2009

scène de la vie historique de Swingle-upon-Dwingle (3)

Le grand philosophe Robott Jeremiah Frog et sa femme, la poétesse Gwendolina Von Glingle (vers 1542). Robott Jeremiah Frog dut sa célébrité à sa fameuse doctrine de la Pilosité, concept selon lequel l'homme ressent le monde par ses poils.

Il encourageait donc ses disciples à se laisser pousser une imposante chevelure afin de mieux percevoir les courants animant l'univers.


Malheureusement, il ne s'arrêta pas à cette conception et poursuivit sa réflexion dans un sens qui devait lui attirer les foudres des autorités.
Dans son magistral essai "Tous à poil", il avance en effet l'idée que l'avenir de l'Homme réside dans l'union avec la Nature et que le moyen de cette union n'est autre que d'aller nus comme des vers, chantant des chants païens et dansant des danses lascives.

Le gouverneur Djohn-Djohn XVI dit "le Coincé" ne l'entendit pas de cette oreille et condamna Frog et ses disciples à l'exil sur la petite île rocheuse de Frindjington-Right. Dans son idée, le climat plutôt rigoureux de l'endroit devait amener ce petit rigolo à modifier ses idées et il est vrai qu'après quelques pneumonies, le dogme de la Nudité eut tendance à s'assouplir.
On voit ici le philosophe en exil célébrant avec sa femme la récolte d'un simple exceptionnel qu'ils découvrirent sur l'île en question.

Car, ironie du sort, Djohn-Djohn le Coincé avait envoyé Frog et sa bande dans la plus formidable réserve de plantes hallucinogènes du Swingle, ce qui ne fut pas sans conséquence sur l'avenir désastreux de la Philosophie dans le pays.


Gwendolina Von Glingle, quant à elle, fut la première à avoir l'idée d'électrifier le luth de Swingle, c
réant ainsi le rock'n'roll.

lundi 6 juillet 2009

Scène de la vie terroriste du Swingle

Aujourd'hui : le 11 septembre vs le 15 juillet

En cette ère technologique et ultra-sophistiquée, il est bien normal que l'assassinat de trois mille personnes à l'aide d'une seule poignée de cutters suscite la perplexité.

Quoi ? Alors que nous autres civilisés nous cassons la tête (voire d'autres parties du corps) à fissurer soigneusement l'atome et domestiquer patiemment les bactéries les plus belliqueuses afin de tuer plus et plus vite, une bande de sauvages mal rasés munis d'un simple matériel de bureau nous prend de vitesse ?

Boris Vian chantait déjà :

"Voilà des mois et des années

Que j'essaie d'augmenter

La portée de ma bombe,

Et je ne me suis pas rendu compte

Que la seule chose qui compte,

C'est l'endroit ousqu'elle tombe".

Ces belles paroles devraient bien sûr être l'axiome de base de tout assassin de masse bien organisé.

Chez nos amis du Swingle, c'est ce que Trajan Prinwingleton a bien compris. Impressionné à juste titre par les exploits des terroristes du 11 septembre 2001 à New York, et aiguillonné par la célèbre devise du Swingle "Après tout, y a pas de raison", Trajan Prinwingleton décida de mener sa propre action terroriste.

On peut le voir ci-dessous posant devant sa machine de mort peu avant son décollage et désignant son objectif à la caméra : les tours à bulbes de l'église Saint-Glungle-de-la-Miséricorde de Froggle-on-the-Rocks.


Afin de donner un poids politique à son action, il créa rapidement la cellule terroriste "Youkaïda", dont le mot d'ordre "Mort aux ratichons" se passe de commentaires, et dont il est à ce jour le seul membre connu.

Le 15 juillet dernier, par temps clair, Trajan Prinwingleton s'élança dans les airs vers son objectif, hurlant sur tous les tons son slogan de haine et prêt à mourir écrabouillé pour sa cause. Quelques minutes plus tard, il s'écrasait sur le bulbe Nord de Saint-Glungle.

On déplore certes la mort de 12 pigeons innocents, et une dizaine de côtes cassées pour l'apprenti terroriste qui dut reporter ses vacances, mais le Swingle est entré dans l'histoire moderne et la date du 15 juillet reste gravée dans toutes les mémoires. Gageons qu'elle aura une place de choix dans le "Nouvel Almanach du Ridicule et de la Contre-Façon du Père Applefruit 2009".

dimanche 5 juillet 2009

scène de la vie historique de Swingle-upon-Dwingle (2)

Continuons notre exploration émue des Chroniques du Swingle...

Victorine Ière terrasse le dragon (vers 1644).


Cette action d'éclat la propulsa sur le trône, préférée à son frère aîné Niggle-le-Tartignolle, pourtant héritier légitime de la couronne.

Victorine fut la première reine de la "dynastie des Bougresses", qui régna sur le Swingle de nombreux siècles, jusqu'au coup d'état de Niquedouille Ier et de son "Mouvement Phallocratique et Fier de l'Etre", qui profitèrent bassement des migraines mensuelles de Gladila-Tête-En-Moins pour lancer une offensive décisive sur le royaume en janvier 1850.

Victorine Ière eut à coeur de prouver que les femmes égalent les hommes en maints domaines et même les surpassent. Elle y réussit pleinement en ce qui concerne la cruauté débonnaire, l'autoritarisme sans faille et une certaine chafouinerie bonhomme, dépassant les espérances les plus folles des féministes les plus convaincus.

On la fête tous les 18 septembre en chatouillant tous les dragons qu'on croise sous le menton. Le 19 septembre est consacré généralement au dénombrement des morts de la veille.

samedi 4 juillet 2009

le retour de la vengeance du fils de la momie des chroniques de swingle-upon-dwingle

Chers et bien-aimés entrenautes,

Dans un souci sans cesse renouvelé d'édification de notre malheureuse jeunesse et d'instruction-civique-des masses-tout-en-s'amusant, je vous propose de feuilleter avec émotion les Chroniques historiques et culturelles de Swingle-upon-Dwingle.

Un lâche attentat contre le Rayonnement Lumineux de la Connaissance et des Lumières Balthazaresques, connu sous le nom de "Pixum attack", avait dévasté les illustrations de mon précédent blogue.
Les voici de retour, pour votre bonheur le plus grand, accompagnées des textes hilarants leur correspondant, car jamais l'obscurantisme, même technologique, ne vaincra.

Commençons donc par le commencement : voici la première Scène de la vie historique de Swingle-upon-Dwingle.

La comparution de la sorcière Djalila au Tribunal Spécial de la Grande Inquisition de l'Eglise Sacramentelle Orientale, à Froggle-on-the-Rocks (sympathique bourgade en amont du Dwingle).

C'est au cours de cette séance historique qu'advint un étonnant coup de théâtre : en effet, Djalila, plutôt en mauvais posture au départ, reconnut formellement en Sa Sainteté Sacramentelle le Grand Inquisiteur Piotr Frolynghton, le géniteur de Nikita, son petit bâtard. "Un nez pareil, ça ne s'oublie pas !", déclara notamment la sorcière, qui décrivit par la suite le Grand Inquisiteur comme "un salopiot qui engrosse les braves filles en se faisant passer pour ce qu'il n'est pas".
Une analyse ADN (Aspect Du Nez) établit formellement la véracité des dires de Djalila.
Cet événement dramatique marqua le début de la fin pour la Sainte Inquisition, sévèrement discréditée, dans nos contrées.

mardi 30 juin 2009

il fait trop chaud pour trrravailler...




... mais je travaille quand même.

mardi 2 juin 2009

yeah yeah yeah

Ça balance au Congo-Brazzaville !




Un peu de lecture, pour s'en remettre :

vendredi 22 mai 2009

Lisbeth Salander

En ce moment, je lis les Millenium... Super, dans le genre bonne série télé américaine à la Six Feet Under ou Dexter : qualité de l'intrigue, façon de planter les personnages, et au final, une solide addiction pour le lecteur/spectateur !
Et voilà une petite Lisbeth Salander :


jeudi 21 mai 2009

au hasard, Balthazar

Bon, alors : petit point sur les choses en cours...
D'abord, il y a Miss Annie, un a-do-ra-ble petit chat, qui fera l'objet d'un excellent livre à paraître chez les éditions Dupouis en l'année de grâce 2010, probablement au printemps joli.

Et d'ailleurs, le contrat est signé ! Il s'agira d'un production Le Gall/Balthazar/Robin Doo, l'équipe gagnante du mini-récit Le Ruisseau dans Spirou (et on espère que, cette fois, les éditions Dupouis n'omettront point la couverture de l'album).


Et hop !

Et puis, toujours au chaud dans les cartons, il y a Ectoplasmic Productions, un projet de série 100% Balthazar :

Sinon, pendant mes loisirs, je fais aussi des totems wallons garantis grand Juju :

samedi 16 mai 2009

Om Shanti Om









lundi 4 mai 2009

ça bosse chez Balthazar !

Mon mystérieux projet avance à grands pas...



Tandis que miss Annie poursuit ses aventures félines...

samedi 25 avril 2009

ectoprod

lundi 20 avril 2009

Ronron

samedi 18 avril 2009

balthazar's tatooo !

mardi 14 avril 2009

quelques vieilleries que j'aime bien...

Je remets dans ce post quelques dessins que j'aime bien et qui ont disparu suite à la célèbre attaque "Pixum and co" sur mon ancien blogue...

Quoi de neuf ? Bruegel !


Le Mahatma Shanti et sa célèbre Marche du Poivre.

Apprenons le Yoga avec le Maharshishi Van Brol :


Et bien sûr, nos célèbres garçons dans le vent, j'ai nommé les Skiffle Beat Brothers :

Et un petit hommage à Raymond Macherot :

samedi 11 avril 2009

Juliette des Esprits